Année B – 4ème dimanche de Pâques


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SOMMAIRE DE L'HOMELIE

C'est ma fête.. C'est votre fête à tous ceux et celles qui, à quelque titre, partagent notre sollicitude pastorale.

Donc à tous : "bonne fête" notre souhait mutuel : soyons de bons bergers et non des "mercenaires"

Nous PRETRES : comment je suis un mercenaire ?

- si j'exerce mon ministère

= avec souci de sauvegarder mes aises etc...
= pour avoir un groupe d'admirateurs...

- si je prêche pour être complimenté...
- si, pour être bien vu, j'atténue la vérité ou ne fais pas les remarques opportunes...
- si je m'occupe davantage des plus faciles...
- si je fréquente davantage ceux qui ont même culture...
- si je suis trop sensible à l'ingratitude ou à la critique...

Pour être bon pasteur, je dois faire passer avant tout le bien des âmes, le souci de les faire progresser ... cela doit primer tout le reste...

CHEFS et CHEFTAINES :

- Eux ne doivent pas consacrer tout leur temps, ni même tous leurs loisirs, aux jeunes ... ils ont aussi une autre vocation ... qui doit primer...
- Ils ne sont pas des bergers à gages puisque leur dévouement est bénévole.
- Mais ils ne doivent pas :

= se dévouer uniquement pour le galon... pour avoir l'affection des enfants...
= ni s'occuper surtout des plus faciles...
= ni se montrer trop coulants... Il est toujours pénible de faire une remarque ou d'expliquer une sanction...
= ni se cramponner à leur poste...

 DAMES CATECHISTES

- Elles aussi sont bénévoles...
- Elles aussi ont d'autres devoirs (foyer, famille) qui priment...
- Ne pas délaisser les plus difficiles...

CHORALE

- Evidement tous ses membres sont bénévoles...
- Dans le choix et l'exécution des chants, attention de ne pas faire passer le souci de se mettre en avant ou de mettre en valeur telle voix avant le souci d'entraîner la coté dans la louange de Dieu ou le souci de créer une atmosphère favorable à la père...

PARENTS

- Ils sont concernés par beaucoup de remarques déjà faites...
- Qu'ils se rappellent qu'ils ont eux, les tout premiers, la charge de même de leur enfant...
- Que leurs ordres et leurs remontrances soient toujours désintéressée... qu'ils en donnent en quelques mots adaptés la motivation à leur enfant...

Le PAPE

- Pasteur des Pasteurs ... investi d'une charge surhumaine...
- Comment on réagit à ses interventions...

= réactions adolescentes...
= humiliantes et insolentes...

- Comment lui, réagit quand il est ainsi bafoué ... Il ne capitule pas... Ce n'est pas un mercenaire !
- Prions pour lui de tout notre cœur...


HOMELIE

 

C'EST MA FETE... et c’est aussi votre fête !

C'est ma fête puisque je suis votre pasteur, et c'est aussi la fête de tous ceux qui partagent avec moi la sollicitude pastorale : c'est la fête du Père Hadelin, c'est la fête du Père Laurent, c’est la fête du Père Maur... mais c’est aussi la fête de tous nos chefs et cheftaines... C'est la fête de nos dames catéchistes... C'est la fête des membres de notre chorale... C'est aussi la fête de vous tous, parents... C'est la fête de tous ceux, de toutes celles auxquels le Seigneur a confié une partie de son troupeau.

Nous, vos Pères, nous ayons la charge de toute la paroisse. Les dames catéchistes ont la charge d'un groupe d'enfants à catéchiser. Nos chefs et cheftaines ont la charge d'un groupe de jeunes et vous, la chorale, de qui avez-vous la charge ? De toute la communauté paroissiale puisqu'aussi bien vous êtes là pour animer, pour tisonner l'enthousiasme de tous par le chant. Quant à vous, parents, vous avez la charge de cette famille que le Seigneur vous a donnée, de ces âmes de vos enfants qu'Il vous a confiées.

Souhaitons-nous donc les uns aux autres notre fête : « Bonne fête à tous ! » Le souhait que nous formons, c'est que nous soyons tous, chacun à notre niveau, de bons bergers !

Or voici que l'Evangile d'aujourd'hui nous incite à réfléchir pour savoir si nous sommes vraiment, à l'image du Seigneur Jésus, de bons bergers ou si, par hasard, nous ne serions pas parfois des "mercenaires". Le mercenaire, c est celui qui ne s'occupe des brebis à lui confiées que pour les avantages personnels qu'il en retire mais qui, selon l'expression même du Seigneur, « n'a pas "cure" du bien de celles-ci. »

Pour moi, prêtre, si je fais passer le souci de sauvegarder mon repos, mon confort, mes loisirs avant le souci des âmes que le Seigneur m'a confiées : je suis un mercenaire.
Si je n'exerce mon ministère que pour la joie d'avoir autour de moi un groupe d'admirateurs, un groupe de gens sympathiques qui m'estiment et me sont attachés : je suis un mercenaire !
Si je m’applique à il faire de beaux sermons pour que "ça fasse bien" et pour être ensuite complimenté plus que pour susciter l'enthousiasme pour le Christ et pour sa cause dans le cœur de mes fidèles : je suis un mercenaire.
Si j'hésite à faire telle remarque qui pourtant s'imposerait, parce que je risquerais de perdre ainsi l'amitié et l'estime de tel ou tel : je suis un mercenaire !
Si j’atténue la vérité, si j'accepte les compromis pour paraître "à la page" ou "large d'esprit" je suis un mercenaire !
Si je m'occupe de préférence de ceux qui sont plus perméables, plus dociles (au sens originel du mot), délaissant les âmes plus difficiles ou plus ingrates je suis un mercenaire !
Si je fraye plus volontiers avec ceux qui ont la même culture, le même niveau intellectuel, et que je délaisse les autres, là encore je suis un mercenaire !
Si je suis trop sensible à l'ingratitude des gens, au point d'en être découragé et paralysé dans mon activité apostolique, je suis un mercenaire.

Pour être un "bon pasteur", il faut que je sois avant tout et par dessus tout préoccupé du bien des âmes que le Seigneur m'a confiées. Et, sans doute, l'affection et la confiance qui, je crois pouvoir le dire, nous unissent ici à Rungis, est une joie bien légitime de la "paternité spirituelle", comme l'affection et la confiance des fils est une des joies les plus profondes, je pense, de la paternité charnelle. Saint Paul lui-même savourait cette joie. Mais ce ne doit pas être cela que je recherche avant tout dans l’exercice de mon ministère. Mon souci premier doit être de vous faire progresser, avancer dans une vie de plus en plus authentiquement chrétienne, mon souci premier doit être d'épanouir pleinement toutes les possibilités que la grâce de Dieu a déposées en vous, mon souci premier doit être de vous conduire à la réalisation de plus en plus parfaite des aspirations nobles qui sourdent dans votre cœur sous la pression de la grâce divine, mon souci premier, mon bonheur le plus grand, doit être que vous aimiez de plus en plus le Seigneur ! A cela je dois être prêt à sacrifier tout le reste : ma santé, mon sommeil, mes forces, mes loisirs, tout jusqu'à renoncer même s'il le faut, au moins momentanément, à l'estime, à la gratitude, à l'affection de ceux dont j'ai la charge ! Le bon Pasteur doit donner jusqu'à sa vie pour ses brebis...

 

Et vous, chefs et cheftaines, comment devez-vous vous comporter pour être de bons pasteurs et non pas des mercenaires ?

Tout d'abord il ne peut être question pour vous de consacrer votre vie toute entière à ces jeunes qui vous sont confiés. J'ai eu l'occasion de vous le dire bien des fois : le Seigneur vous appelle à une autre vocation, vous avez une vie professionnelle à préparer ou a exercer consciencieusement. Vous ne pouvez même pas consacrer tous vos loisirs à ces jeunes. Vous devez, en effet, pouvoir fréquenter de temps à autre des jeunes de votre âge et ce, pour une double raison. D'abord pour ne pas risquer de garder une mentalité qui serait par trop enfantine du fait que vous ne contacteriez que des enfants. Et d'autre part parce qu'il faut que vous songiez au foyer que vous vous sentez appelés à fonder. Certes, je le pense, le Seigneur mettra sur votre route celui ou celle dont vous ferez votre compagnon ou votre compagne, mais encore faut-il que, de votre côté, vous fassiez tout ce qui dépend de vous pour faire cette rencontre.

Au demeurant, comment pourriez-vous donc être des mercenaires dans l'exercice de vos fonctions de chefs et cheftaines ? Certes vous n'êtes pas des mercenaires, en ce sens que vous seriez des bergers à gages. Votre dévouement est tout à fait bénévole aussi bien tout au long de l'année que durant les grandes vacances. Et je tiens à rendre hommage ici à ce dévouement gratuit. Ce n’est pas si facile à trouver de nos jours où tout se paie et se monnaie ! Ne serait-ce que pour se faire de l'argent de poche ! En cela, vous avez vraiment l'esprit scout. J'ai toujours été frappé par la troisième phrase du cérémonial de la promesse : « Que désires-tu ? demande le chef au candidat. – Etre scout de France. – Pourquoi ? – Pour apprendre à mieux servir Dieu et le prochain. – Quel avantage matériel en attends-tu ? – Aucun ! » Voilà qui est net, voilà qui est évangélique : « Les dons, les talents que vous avez reçus gratuitement, dit le Seigneur, donnez-les gratuitement. » (Matthieu, ch.10,v.8). Je vous ai commenté souvent cette phrase. Il est bon que tous ici sachent que la gratuité de votre dévouement nous a permis de réaliser, lors de notre dernière colonie, une économie de plus d'un million d'anciens francs, ce qui nous a permis de consentir certaines réductions pour des enfants qui sans cela n'auraient pas pu venir... Au passage un grand merci de notre part et de la part des parents...

 

Mercenaires ! je ne crois pas que ce soit le cas chez nous, mais certains pourraient l'être s'ils se dévouaient pour avoir le galon, pour avoir l'honneur d'être chefs ou cheftaines... C'est bien porté, paraît-il !

Mercenaires ! vous pourriez l'être si vous vous dévouez uniquement pour vous sentir entourés de l'affection des enfants, pour savourer cette affection sans avoir le souci d'élever vraiment ces enfants, de les faire monter.

Mercenaires ! vous pourriez l'être encore en vous occupant plus particulièrement de ceux qui vous donnent plus de satisfaction, laissant un peu de côté ceux qui sont plus difficiles peut-être justement parce qu'ils manquent d'affection.

Mercenaires ! vous pourriez l'être encore en vous montrant trop coulants pour ne pas risquer de perdre l'affection d'un enfant. Dans l'éducation, il est toujours pénible, certes, de faire des remontrances ou d'infliger un blâme et encore plus de prendre une sanction. Mais ce serait être mercenaire si, lorsque nous jugeons que cela est utile pour le bien du groupe et pour le bien de l'individu, nous capitulions devant l'effort que cela nous demande.

Enfin assurément mercenaire celui qui se cramponnerait à tel poste alors que le bien des enfants demanderait qu'il le laisse à un autre et assume une autre responsabilité...

Voilà quelques points qui peuvent vous faire réfléchir. Que pour vous aussi, ce qui prime sur tout le reste, ce soit le bien des enfants !

Ce que je viens de dire à nos chefs et cheftaines s'adresse aussi en quelque manière à vous, nos dames catéchistes.

Votre dévouement à vous aussi est totalement désintéressé et gratuit. Je me souviens combien nous avions ri lorsqu'au cours d'une réunion de nos quelque quatre vingt dames catéchistes à Choisy-le-Roi, l'une d'elles nous avait rapporté le bruit qui courait dans la ville : le Père Jean doit bien payer ses dames catéchistes pour qu'il en ait tant ! En réalité, ce nombre imposant était réclamé par le nombre des enfants. C'était en effet l'époque où nous avions quelque 300 enfants dans une seule année de catéchisme...

Il est bien évident aussi, mesdames, que ce dévouement auprès des enfants que l'on vous a confiés pour être catéchisés passe après celui que vous devez à votre foyer et à votre famille. St Paul exigeait déjà que les veuves qui voulaient se consacrer au service de l'Eglise s'occupent d'abord de leurs enfants et de leurs petits-enfants et même éventuellement de leurs parents (lère épître à Timothée, ch.5,v.3-5).

La seule recommandation que je puis vous faire, car c'est une tentation qui nous guette tous tant elle est naturelle : veillez à ne pas vous occuper davantage des mieux appliqués, des plus studieux, des plus dociles, et à ne pas délaisser un peu ceux qui sont plus superficiels, plus difficiles ; redoublez de sollicitude pour eux, quitte à les garder un peu plus longtemps et à les prendre à part.

Pour notre chorale, il est bien évident que tous les membres en sont bénévoles ! Le seul danger qui pourrait exister pour eux d'être "mercenaires", ce serait d'être plus soucieux dans le choix des chants ou dans la façon de les exécuter, de se faire valoir ou de faire valoir telle voix, plutôt que de songer avant tout à remplir leur rôle qui est d'entraîner dans la louange de Dieu la communauté toute entière, ou de créer, par quelques morceaux exécutes par la seule chorale, une atmosphère favorable au recueillement, à la prière, à l'enthousiasme !

Quant à vous, parents, vous avez pu déjà vous sentir "concernés", comme on dit aujourd'hui, par plusieurs des recommandations que je viens de faire aux uns ou aux autres. J'en ajouterai seulement deux à votre adresse plus personnelle.

D'abord n'oubliez pas que vous avez la charge d'assurer non seulement la "pâture" matérielle, corporelle, à vos enfants, mais aussi leur "pâture" spirituelle. Dieu vous a fait à vous aussi, à vous en tout premier lieu, l'insigne honneur de vous confier ces âmes. A vous d'aider vos enfants à prendre conscience de toutes ces richesses intérieures, spirituelles que la grâce a déposées dans leur cœur. Exhortez-les, certes, mais surtout faites leur prendre conscience comme ils sont heureux, épanouis lorsqu'ils ont fait quelque chose de bien !

En second lieu, lorsque vous donnez un ordre ou faites une remontrance, que ce soit toujours de façon désintéressée et non pas pour faire valoir votre autorité ou pour vous décharger les nerfs ! Et là encore, expliquez à l'enfant, non pas certes par de longs "sermons" (ce serait une catastrophe !), mais en quelques mots simples et adaptés au niveau de son intelligence, le pourquoi de votre demande ou de vôtre réprimande, pour que l'enfant se rende bien compte que ce que vous cherchez avant tout, c’est son vrai bien...

Enfin, mes frères, nous ne saurions, en ce jour, oublier le Pasteur des Pasteurs, celui auquel le Seigneur, en la personne de son Apôtre Pierre, a confié tout particulièrement le soin de « paître tout son troupeau, aussi bien les brebis que les agneaux ! » (St Jean, ch.21), notre Saint Père le Pape !

Si déjà nous nous sentons parfois écrasés, dépassés par le poids du groupe relativement petit que le Seigneur nous a confié, que dire de celui qui porte le poids de toute l'Eglise et le poids du monde entier à convertir !

Rassembler tout le troupeau alors que tant de mauvais bergers cherchent à entraîner agneaux et brebis dans des pâturages empoisonnés, cela est assurément une tâche surhumaine ! Nous savons tous les efforts courageux que notre Pape Paul VI fait pour cela. Nous savons aussi, hélas !, quel accueil reçoivent aujourd'hui ses interventions ! C'est proprement scandaleux ! Je pense que, comme moi, vous avez été choqués de rencontrer chez des chrétiens qui se disent adultes, voire chez des prêtres et même chez certains membres de la hiérarchie ecclésiastique, des réactions d'adolescents pour lesquels a priori toute intervention du Père est intervention du "vieux", donc "dépassée", "pas à la page", quitte ensuite à essayer de se raccrocher aux branches lorsqu'ils s'aperçoivent qu'ils ont été "un peu loin" ! Vous avez dû être surpris, comme moi, quand on dit que le Pape doit consulter la base quand il ne fait que rappeler la doctrine que l'Eglise a toujours enseignée. Pour avoir le droit de vous dire que le vol est défendu, devrai-je avoir votre assentiment et celui de tous les autres Pères ? Vous avez du être outrés par l'insolence de ceux qui sont allés jusqu'à dire qu'ils avaient à s'occuper de choses bien plus importantes ! Avouez que, tout de même, cela est assez paradoxal de recueillir de tels propos sur les lèvres de gens qui se disent à l'écoute du monde, à l'écoute de l'événement... Faut-il leur apprendre, à ces insolents, que l'immoralité actuelle est telle qu'elle inquiète même un parti qui est loin de chercher ses directives dans la morale chrétienne ! Que cette immoralité est telle que le gouvernement envisage de remettre au programme des écoles des cours de morale. Quant au langage employé dans le document incriminé, c'est celui employé couramment en théologie... Eh oui ! toutes les sciences humaines ont un langage technique, un "jargon" si vous voulez, que ce soit la médecine, l'électronique, l'informatique... Pourquoi la théologie n'aurait-elle pas le droit d'avoir le sien ? Là, comme ailleurs, il faut des vulgarisateurs. C'est ce que dit expressément ce document, comme il reconnaît aussi expressément que les découvertes de la psychologie permettent de juger et d'appliquer ces principes aux cas particuliers avec plus de doigté...

 

Tout cela est dit avec insistance dans le document. Mais qui, même parmi ses détracteurs, l'a lu en entier...?

Je le redis : réactions d'adolescents, tout ce que dit le Père ne peut être que "vieux jeu".

Or devant l'ironie, l'insolence, comment le Pape ainsi bafoué a-t-il réagi ? 

Ecoutez sa réaction à l'audience générale du 1l février dernier : « Nous ne devons pas craindre d'être peut-être un jour dans une minorité, si nous restons fidèles. Nous ne rougirons pas de l'impopularité si nous restons cohérents. Nous n'attacherons aucune importance à être des perdants, si nous témoignons de la vérité et de la liberté des fils de Dieu ! »

Voilà au moins quelqu'un qui n'est pas un "mercenaire" ! Voilà quelqu'un qui ne se laissera pas acheter !

Merci, Saint Père, de nous tracer la voie de façon aussi claire. De toute notre affection, de toute notre foi, nous prions pour vous ! C'est vous en tout premier lieu qui êtes investi de la charge de " paître " le troupeau de Jésus-Christ, les agneaux et les brebis !

 J'aurais voulu parler aussi des brebis qui ne sont pas de ce bercail et qu'à la suite du Christ nous devons y conduire.

Le temps me manque. Aussi bien je pense que, si chacun de nous est un bon berger, nos différents groupes vivront plus intensément l'Evangile. Or, depuis les Apôtres jusqu'à présent, les faits ont révélé que la méthode la plus efficace d'apostolat, c'est l'attirance d'une communauté authentiquement évangélique. On n'en remontre pas au Seigneur pour les méthodes d'apostolat ; or c’est celle-là même qu'il a prôné : la méthode du ferment !...

 

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